13 novembre 2001
Paradoxes
Pleurer sans larmes,
Crier sans vacarmes,
Mourir sans soupirs
Et rire sans sourires.
Des jeunes sages,
Des vieux puérils,
Tout n’est que carnage
Dans ce contraste infantile.
La faux de la vie
Et la lumière de la mort,
Ne sont que d’autres inepties
Comme la noirceur de l’or.
Ouvrir notre cerveau,
Et fermer notre cœur,
Ne sont pas des leurres
Mais juste notre lot.
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